Libération des orques : un appel à l’action urgente

Dans le sud de la France, une situation tragique se déroule actuellement. Deux orques, Wikie et son fils Keijo, sont prisonniers d’un parc marin abandonné.
Les nouvelles images téléguidées par drone révèlent des bassins recouverts d’algues, où ces magnifiques créatures n’ont d’autre choix que d’errer.
Bien que le parc ait été fermé depuis janvier, nos amis marins demeurent enfermés, et aucune solution ne semble en vue.
Les organisations de protection animale s’inquiètent et demandent à l’État français d’agir rapidement pour leur bien-être.
Le parc en question, Marineland Antibes, situé près de Cannes, a été le foyer de Wikie, 23 ans, et de Keijo, 11 ans, depuis leur naissance.

Ils ont passé leur vie en captivité, privés de toute forme d’existence naturelle. La fermeture est survenue suite à l’interdiction des spectacles de dauphins et d’orques.
La situation est indigne et emporte avec elle également douze dauphins, qui restent eux aussi confinés dans des installations dégradées.
Les images dévastatrices filmées le 7 mai par l’organisation TideBreakers ont suscité une vague d’indignation.
Ces images montrent une réalité désolante, des bassins souillés et des infrastructures laissées à l’abandon. Selon TideBreakers, il est impératif d’agir.
L’organisation décrit la situation comme “tragique” et souligne que Wikie et Keijo semblent avoir été complètement oubliés.
Des projets de relocalisation avaient autrefois fait la une des journaux, mais ils semblent désormais tomber dans l’oubli.
Selon les rapports, il existe encore un certain soutien logistique pour les animaux. Un personnel réduit continue de leur fournir de la nourriture.
Cependant, le cadre de vie est inacceptable et néfaste. L’eau est polluée, l’espace est restreint et les animaux sont confinés sans possibilités d’évasion.
Les défenseurs des droits des animaux jugent irresponsable de maintenir cette situation.
C’est une réalité qui ne devrait pas persister dans le monde moderne, où le respect de la vie animale est devenu essentiel.
Malgré la fermeture, Marineland conserve la responsabilité de Wikie et Keijo.
Le directeur a lui-même reconnu que la situation est désespérée en affirmant : “Wikie et Keijo doivent partir maintenant.”
Toutefois, bien que des tentatives de relocalisation aient été entreprises, elles sont souvent restées sans suite.
Un projet d’envoi au Japon a été intercepté, de même qu’un transfert vers Loro Parque à Tenerife, en raison de l’inadéquation des bassins.
Actuellement, leur dernière chance semble se trouver à Port Hilford Bay, un sanctuaire en Nouvelle-Écosse, Canada.
Ce projet, porté par le Whale Sanctuary Project (WSP), propose un nouvel habitat pour les orques.
Laurie Marino, présidente du WSP, a déclaré que c’est leur unique possibilité de survie.
Les préparatifs avancent, avec des étudesstatistiques sur l’environnement et la qualité de l’eau, et une approbation du gouvernement canadien a été obtenue.
Les fondateurs de ce projet ne sont pas des novices dans la libération d’animaux marins, ayant aider à la réhabilitation de Keiko, l’orca que le monde a appris à connaître dans le film “Free Willy”.
Contrairement à Keiko, qui a su trouver sa place dans la nature, Wikie et Keijo n’auront pas cette chance.
Leur vie a été façonnée par l’humain, rendant toute réintroduction dans leur habitat naturel utopique.
Néanmoins, le sanctuaire canadien représenterait une amélioration significative en offrant un environnement plus naturel et des soins adaptés.
Bien que les préoccupations abondent et que des appels émanant d’experts se multiplient, l’intervention de l’État français reste désespérément absente.
En février, la ministre Agnès Pannier-Runacher avait évoqué une recherche d’un sanctuaire en Europe, mais depuis, le flou persiste.
Les perspectives de relocation à Tenerife sont désormais écartées. Nothing concrete is forthcoming.
Lori Marino a exprimé son choc face à l’absence de пл plano. Actuellement, le ministère semble engagé dans une attente perplexe. La proposition du WSP pour le transfert vers le Canada n’a pas encore reçu de réponse.
Les organismes de protection animale se sentent frustrés par ce silence qui s’éternise.
Le temps presse, et chaque jour passé dans ce parc délabré est une semaine de trop.
Wikie et Keijo méritent mieux que cela.
Ils n’ont peut-être jamais connu la liberté, mais il ne fait aucun doute qu’ils ne devraient pas finir leurs jours dans ces forts récusés.
Le monde observe, et il est grand temps d’agir. Les orques et tous les animaux d’une manière plus générale méritent de vivre dignement, même si cela nécessite des changements majeurs.
Espérons que la pression croissante des défenseurs des droits des animaux permettra d’ouvrir la voie à des solutions humanitaires et durables.
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