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Marianne (67 ans) n’apprécie pas les vacances et les plats étrangers : « Je voulais juste un sandwich au beurre de cacahuètes ».

Pour beaucoup de gens, les vacances sont l’occasion parfaite d’explorer de nouveaux horizons. On rencontre des personnes fascinantes, découvre des paysages enchanteurs et savoure des mets exotiques. Pourtant, certains préfèrent la familiarité du confort gastronomique. Marianne de Groot, 67 ans, en est un parfait exemple. Lors de son voyage en Espagne, elle a réalisé que le dépaysement culinaire pouvait tourner court.

En mai dernier, Marianne a réservé une escapade all-inclusive pour elle-même et sa famille dans un hôtel près de Málaga. Le rêve semblait parfait : soleil, mer et gastronomie sans souci. Mais le rêve s’est vite mué en désillusion lorsque Marianne a constaté qu’aucun plat néerlandais ne figurait au menu. “Il n’y avait ni hagelslag, ni fromage, ni kroketten. C’était comme si j’étais perdue dans un autre monde,” confie-t-elle avec amertume.

Dès le premier petit déjeuner, Marianne s’est sentie désorientée. “Je pouvais choisir entre des haricots blancs dans une sauce tomate, quelque chose qui ressemblait à une omelette, ou de petits pains sans garniture,” se souvient-elle. “Pas de beurre de cacahuète, pas de confiture, ni même un simple thé. Tout était épicé ou acide. Je n’y arriving pas.”

Avec son syndrome de l’intestin irritable, Marianne doit faire attention à son alimentation. “Je ne suis pas difficile, mais prudente. Personne ne semblait comprendre,” explique-t-elle. L’angoisse s’est exacerbée lorsque les dîners étaient composés de plats tels que la paella, le poisson entier ou des salades froides avec des légumes mystérieux. “Tous les jours du riz et des sauces étranges ? C’était trop pour moi.”

Une soirée, l’hôtel a organisé une “soirée espagnole”, ce qui a marqué le comble de son désarroi. “Ils ont servi des tapas sur de petites assiettes. Olives, charcuterie, calamars… des mets qui m’étaient totalement abstraits. Je me suis sentie égarée pendant mes propres vacances.”

La promesse d’un repas sans souci s’est vite révélée illusoire. “Je pensais qu’il y aurait toujours quelque chose à ma convenance,” se remémore-t-elle. Après un seul repas de frites, la désillusion était totale. “C’était tiède et molles. Pas de mayonnaise, pas de ketchup, rien.”

Pour pallier cette situation, Marianne a décidé de chercher un goût familier en dehors de l’hôtel. “J’ai exploré trois supermarchés pour trouver des produits néerlandais, comme un pot de beurre de cacahuète ou un yaourt nature. Il n’y avait rien. J’ai finalement déniché un peu de pain de seigle dans une boulangerie allemande. J’en ai presque pleuré de joie.”

Les boissons incluses étaient tout aussi décevantes. “Il y avait du vin, de la bière et une concoction qu’ils appelaient sangria, mais ça avait le goût d’une limonade bizarre. Je voulais juste un petit verre de cassis ou un café comme à la maison.”

Marianne souhaitait un mélange de détente et de structure. Elle espérait que l’hôtel lui offrirait cette routine réconfortante. “Je voulais juste lire au bord de la piscine, savourer trois repas par jour, jouer à quelques jeux. Mais avoir faim rend tout désagréable.”

Le séjour a coûté 800 euros, auxquels il faut ajouter 60 euros de taxe de séjour. En raison de la nourriture et des boissons supplémentaires qu’elle a dû acheter, la facture s’est achevée à près de 500 euros. “Pour ce prix, j’aurais pu aller à Texel. Là-bas, j’aurais eu droit à du chou frisé si je le souhaitais,” lâche-t-elle. Les installations de l’hôtel ont également déçu. “C’était propre, mais les lits craquaient, et la porte de la salle de bain ne fermait pas bien. Aucun ascenseur, et j’ai de l’arthrose.”

Marianne n’est pas la seule à avoir rencontré des problèmes. Plus tard, elle a découvert que d’autres clients se plaignaient également de la nourriture et de la propreté des chambres. “À la fin, j’aurais aimé avoir lu ces avis plus tôt.”

De retour au Pays-Bas, Marianne a tiré de cette expérience une leçon importante. Plus jamais de voyages lointains sans un goût familier. “La prochaine fois, je réserverai simplement une maison en Zeeland. Du vélo, cuisiner moi-même et aucun pressentiment à consommer des pois chiches ou du poulpe.”

Cependant, elle choisit de garder un aspect positif. “J’ai passé de bons moments avec ma fille et mes nièces. On a beaucoup ri, surtout en repensant à notre aventure. Mais je sais maintenant avec certitude que l’all-inclusive n’est pas fait pour moi, sauf s’il y a aussi du chou frisé et de la saucisse fumée au menu.”

Pour certains, les vacances sont synonymes d’aventure ; pour Marianne, elles représentent confort, familiarité et un bon repas. Et pour elle, cela signifie simplement un toast au beurre de cacahuète.

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Avertissement : le contenu de cette histoire est basé sur des informations accessibles au public et n'a pas été vérifié quant à l'exactitude des faits. Il est destiné à divertir et ne doit pas être considéré comme une source fiable de faits ou d'informations.
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