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L’avocat Meerle (33 ans) est clair : « Les bébés doivent recevoir le nom de famille de leur mère »

À présent, nos sociétés modernes remettent en question des traditions longtemps considérées comme acquises. L’une de ces traditions mérite une attention particulière : l’attribution du nom de famille aux enfants. Actuellement, la majorité des nouveau-nés portent le nom de leur père, une pratique qui, selon l’avocate Meerle, n’a plus sa place dans notre ère contemporaine.

Meerle, à 33 ans, appelle à repenser cette convention. “Nous vivons dans un monde où les dynamiques familiales ont évolué”, dit-elle. Elle soutient avec assurance que la manière dont nous nommons les enfants est obsolète. Dans une société où la structure familiale est en constante évolution, il est temps d’adapter nos puissants symboles d’identité.

Jusqu’à présent, aux Pays-Bas, il est de tradition que les bébés reçoivent le nom de leur père, sauf si les parents font un choix conscient pour le nom de la mère. Hélas, cette dernière option reste rare, souvent ignorée par beaucoup. De plus, de nombreuses mamans subissent une pression sociale pour conserver le nom paternel, par habitude culturelle.

Ce que Meerle observe, c’est que ce schéma est enraciné dans une culture qui privilégie la voix masculine, sans réfléchir aux implications. “La société a changé, mais notre méthode de nomination est restée figée”, explique-t-elle. La présence de familles recomposées, de mères célibataires et de pères présents ne trouve pas d’écho dans cette tradition dépassée.

Pour Meerle, il est essentiel de lutter pour l’égalité et la reconnaissance des femmes. Selon elle, accorder le nom de la mère aurait un impact positif pour davantage d’équité au sein de la famille. “Une mère porte son enfant pendant neuf mois et souvent elle est le principal acteur dans l’éducation”, souligne-t-elle. “Il est temps que cela se reflète dans la manière dont nous nommons nos enfants.”

Certaines cultures ont déjà adopté des modèles de nomination plus équitables. En Espagne, par exemple, un enfant reçoit le nom de la mère et du père. En Islande, les enfants portent un patronyme basé sur le prénom d’un parent. “Il existe de nombreuses alternatives”, clarifie Meerle, “et nous ne devons pas nous accrocher à des normes obsolètes.”

Les réactions à l’appel de Meerle ne se sont pas fait attendre. Les médias sociaux sont en émoi. D’une part, certains jugent son propos trop radical, remettant en question l’efficacité de ce qui a toujours été en place. “Pourquoi changer un système qui a bien fonctionné ?”, demandent-ils. D’autres, par contre, encouragent son initiative, reconnaissant l’importance d’ouvrir cette discussion.

Une écrivaine sur Facebook partage son expérience. “J’ai trois enfants qui portent tous le nom de leur père, mais je regrette de ne pas avoir choisi le mien. Après tout, c’est moi qui les accompagne à l’école, chez le médecin.” Cette voix résonne dans de nombreux témoignages d’autres mères et pères en faveur de cette évolution.

Au niveau législatif, il est important de noter que les parents en Hollande peuvent faire des choix, bien que limités. Actuellement, le nom paternel est automatiquement attribué si les parents ne décident pas ensemble. Meerle propose un renversement : considérer le nom de la mère comme norme, sauf accord contraire. Cela pourrait refléter la réalité moderne.

“C’est une manière de donner aux femmes une meilleure place dans l’histoire de leurs enfants, sans diminuer la profondeur de l’amour paternel”, ajoute-t-elle. Sa proposition pourrait ouvrir la voie à un changement significatif dans la société. La question demeure si cette vision pourra se transformer en une loi réelle.

Une touche personnelle façonne sa conviction. Sa propre éducation a joué un rôle crucial dans sa réflexion sur cette question. Élevée par une mère célibataire, elle confessent que porter le nom de son père, qui était absent, lui a toujours semblé injuste. “Quand je l’entends, ça rappelle une connexion qui ne signifiait rien pour moi.” En choisissant de donner à son propre enfant son nom, elle a voulu affirmer sa propre identité.

Quoiqu’il en soit, le débat sur les noms de famille est maintenant lancé. Meerle ne cherche pas à affaiblir le rôle des pères, mais à créer un espace pour un équilibre et une reconnaissance au sein des foyers. “Il s’agit de liberté de choix et de reconnaître que les traditions doivent être interrogées”, déclare-t-elle. “Si nous croyons en l’égalité, elle doit se refléter dans nos choix les plus fondamentaux.”

C’est un débat qui mérite d’être approfondi, et même si les opinions divergent, le fait d’en discuter est déjà un pas important. Qui sait, d’ici quelques années, nous pourrions voir un changement véritable dans la manière dont nous considérons les noms de famille, et ce qui est aujourd’hui perçu comme ordinaire pourrait devenir une pratique renouvelée.

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Avertissement : le contenu de cette histoire est basé sur des informations accessibles au public et n'a pas été vérifié quant à l'exactitude des faits. Il est destiné à divertir et ne doit pas être considéré comme une source fiable de faits ou d'informations.
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